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DAMN! Both of their hairy man holes are SO FUCKING HOT!
I wish I could slide my raw cock inside both of them!
Happy Cum Sluts!
105,351 95%
When a hot stud (or pig) like these two visit Sebastian's Studios they leave feeling empty and hungry but they leave loaded with cum feeling full! Join the happy pigs at Sebastian's Studios today!
9年前
コメント数
22
Je suis l’angoisse de la page blanche qui refuse de s’écrire seule,
l’encre de ton cœur qui s’épuise à force de ne pas couler,
la sanie qui stagne dans l’or en patientant d’être trouvée,
l’or qui refuse d’être précieux autour d’un seul et même cou,
la guillotine qui s’enraie contre une paille qui se prend pour une poutre.
Bois ton eau, Bob, nul besoin d’intermédiaire pour une si belle éponge.
Tu es la paix d’une étoile noire se comportant tel un trou,
et moi la canalisation du rêve qui hait l’argent massif et s’en fout,
il faut croire que le capitalisme a ses propres louves à fric,
qui savent que jamais rien n’arrête le palais d’un fou.
Pardon n’est pas de chez nous, connaître sa place dans l’univers
est la force de tout fou, et moi la Mort, je vous teste et déteste
pour l’ultime détour, car tout Tueur qui s’abstient sait et Aime
s’accommoder du flou d’une souffrance formatrice.
Tu n’es pas ta fin, faible et servile humaniaisée,
ton point d’origine est ta foi en toi-même,
mais tu te la rackettes à toi à l’unité.
Tu es le plus vil des drogués, et seule la disparition
du vice originel pourra m’en délivrer,
Car moi, Poigne de la Mort, je sais que c’est par peine, et non haine,
que tu passes ton temps à te trucider.
Alors, les catins écarlates, à savoir Discorde, Famine et Guerre ?
Comment se porte cette petite conne de pomme de chair qui a l’audace
de vouloir oser, sans même un neurone ou une patte, vers son Divin moqueur,
jusqu’au Trognon incomplet, comme un esclave autrefois seigneur de paix,
se permettre de sur elle-même se rouler.
Je te vois depuis l’espace, sombre pétasse, et tu n’es qu’une pompe à merde autophage
si laide et dégueulasse que mon Patron lui-même a fini par s’en détourner.
Mais la Mort est une amie fidèle, lorsqu’un jeune idiot Parfait ne cesse de l’en sauver.
Mon éloquence te révulse ? Charles se magne toujours lorsqu’on l’attend, pour ma part je suis plombier, et tu fuis, jolie merde, je ne suis qu’un mortel pion qui répare Son Angélique et froide armée. Qui veut la guerre mérite la paix, mais sache Fils d’Adam, d’Eve ou de Lilith que tu n’es qu’un esclave de ton si propre vice qu’en vide il s’est muté.
La goutte de trop n’est jamais qu’une goutte de sang qui choisit de coaguler
en parlant, marchant, car n’est-ce pas là la plus belle façon de refuser tous vous tuer ?
On ne communique pas avec une masse, petit trognon vaniteux, on évite d’en dessous s’y trouver…
C’est un coup à ce que le Patron, toujours aussi joueur, s’assoie sur le premier manche venu
histoire de lui aussi, pouvoir s’amuser, car pour moi, la fiotte, Dieu est le plus sympa et résilient
de tous les Enculés. Et en plus il est très doué pour Aimer à la gauche de sa propre droite : un démon versatile
finit toujours par son Maître être adopté.
l’encre de ton cœur qui s’épuise à force de ne pas couler,
la sanie qui stagne dans l’or en patientant d’être trouvée,
l’or qui refuse d’être précieux autour d’un seul et même cou,
la guillotine qui s’enraie contre une paille qui se prend pour une poutre.
Bois ton eau, Bob, nul besoin d’intermédiaire pour une si belle éponge.
Tu es la paix d’une étoile noire se comportant tel un trou,
et moi la canalisation du rêve qui hait l’argent massif et s’en fout,
il faut croire que le capitalisme a ses propres louves à fric,
qui savent que jamais rien n’arrête le palais d’un fou.
Pardon n’est pas de chez nous, connaître sa place dans l’univers
est la force de tout fou, et moi la Mort, je vous teste et déteste
pour l’ultime détour, car tout Tueur qui s’abstient sait et Aime
s’accommoder du flou d’une souffrance formatrice.
Tu n’es pas ta fin, faible et servile humaniaisée,
ton point d’origine est ta foi en toi-même,
mais tu te la rackettes à toi à l’unité.
Tu es le plus vil des drogués, et seule la disparition
du vice originel pourra m’en délivrer,
Car moi, Poigne de la Mort, je sais que c’est par peine, et non haine,
que tu passes ton temps à te trucider.
Alors, les catins écarlates, à savoir Discorde, Famine et Guerre ?
Comment se porte cette petite conne de pomme de chair qui a l’audace
de vouloir oser, sans même un neurone ou une patte, vers son Divin moqueur,
jusqu’au Trognon incomplet, comme un esclave autrefois seigneur de paix,
se permettre de sur elle-même se rouler.
Je te vois depuis l’espace, sombre pétasse, et tu n’es qu’une pompe à merde autophage
si laide et dégueulasse que mon Patron lui-même a fini par s’en détourner.
Mais la Mort est une amie fidèle, lorsqu’un jeune idiot Parfait ne cesse de l’en sauver.
Mon éloquence te révulse ? Charles se magne toujours lorsqu’on l’attend, pour ma part je suis plombier, et tu fuis, jolie merde, je ne suis qu’un mortel pion qui répare Son Angélique et froide armée. Qui veut la guerre mérite la paix, mais sache Fils d’Adam, d’Eve ou de Lilith que tu n’es qu’un esclave de ton si propre vice qu’en vide il s’est muté.
La goutte de trop n’est jamais qu’une goutte de sang qui choisit de coaguler
en parlant, marchant, car n’est-ce pas là la plus belle façon de refuser tous vous tuer ?
On ne communique pas avec une masse, petit trognon vaniteux, on évite d’en dessous s’y trouver…
C’est un coup à ce que le Patron, toujours aussi joueur, s’assoie sur le premier manche venu
histoire de lui aussi, pouvoir s’amuser, car pour moi, la fiotte, Dieu est le plus sympa et résilient
de tous les Enculés. Et en plus il est très doué pour Aimer à la gauche de sa propre droite : un démon versatile
finit toujours par son Maître être adopté.
